IRL
INRP
STATS
Hors rp
▬ Pseudo et pronom : Wolfie / Il
▬ Où as-tu connu VM: Je me suis égaré, de top-site en partenariat, une longue dérive et beaucoup de temps perdu. Mais peut-être pas si perdu que ça, au final, parce que j’ai l’impression que ça vaut le coup de tomber ici <3
▬ Double compte : Aucun, je suis fraîchement débarqué, un authentique poisson de la criée du matin, plop plop ! Suis-je un saumon ? Ou alors une dorade ? Je sais pas…
▬ Connaissez-vous bien une des trois villes du forum ? : Disons que je me suis rendu plusieurs fois sur Paname et Bruxelles, mais que ce que je connais le mieux là-bas, c’est peut-être bien les bars… Donc, si vous avez des adresses cools sur Montréal, contactez-moi <3
▬ Avez-vous déterminé comment et si votre personnage aura des liens avec ses autres vies ? Pour l’instant, j’avoue préférer me concentrer sur Ioanna. Mais, j’ai quelques idées éparses pour un autre personnage, donc elle va percevoir des bribes de conversations lors de ses visions, dans un premier temps. Une voix qu’elle ne connaît pas, mais dont elle se sent bizarrement familière. Et elle en apprendra davantage lorsque son premier alter débarquera sur le forum. Puis, ça permet de teaser un peu, héhé ~
▬ Une dernière chose à dire ? : Comme je suis pas bien doué pour les mots d’amour, ni pour me présenter, je vais vous improviser un poème en prose sur les girafes : « Girafe. Ton cou, long comme les nuits d’hiver, me comble de joie quand il se courbe, afin d’attraper quelques éclats de cacahuètes, dans le creux de mes mains. Pourrais-je un jour entrevoir le monde comme tu le fais ? De toute cette hauteur élancée ? Je ne pense pas, et c’est vraiment dommage. » Voilà, c’était bien ou pas ?
▬ Où as-tu connu VM: Je me suis égaré, de top-site en partenariat, une longue dérive et beaucoup de temps perdu. Mais peut-être pas si perdu que ça, au final, parce que j’ai l’impression que ça vaut le coup de tomber ici <3
▬ Double compte : Aucun, je suis fraîchement débarqué, un authentique poisson de la criée du matin, plop plop ! Suis-je un saumon ? Ou alors une dorade ? Je sais pas…
▬ Connaissez-vous bien une des trois villes du forum ? : Disons que je me suis rendu plusieurs fois sur Paname et Bruxelles, mais que ce que je connais le mieux là-bas, c’est peut-être bien les bars… Donc, si vous avez des adresses cools sur Montréal, contactez-moi <3
▬ Avez-vous déterminé comment et si votre personnage aura des liens avec ses autres vies ? Pour l’instant, j’avoue préférer me concentrer sur Ioanna. Mais, j’ai quelques idées éparses pour un autre personnage, donc elle va percevoir des bribes de conversations lors de ses visions, dans un premier temps. Une voix qu’elle ne connaît pas, mais dont elle se sent bizarrement familière. Et elle en apprendra davantage lorsque son premier alter débarquera sur le forum. Puis, ça permet de teaser un peu, héhé ~
▬ Une dernière chose à dire ? : Comme je suis pas bien doué pour les mots d’amour, ni pour me présenter, je vais vous improviser un poème en prose sur les girafes : « Girafe. Ton cou, long comme les nuits d’hiver, me comble de joie quand il se courbe, afin d’attraper quelques éclats de cacahuètes, dans le creux de mes mains. Pourrais-je un jour entrevoir le monde comme tu le fais ? De toute cette hauteur élancée ? Je ne pense pas, et c’est vraiment dommage. » Voilà, c’était bien ou pas ?
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Ioanna Petrakis
Surnom : Le Corbeau, Treize, Cassandre Haraway
Mythe : Cassandre de la mythologie grecque.
Age : 28 ans
Nationalité : Grecque
Sexe & genre : Femme cis
Orientation : Bisexuelle et aromantique
Situation conjugale : Célibataire
Travail : Auteure de romans et de nouvelles.
Revenu : Relativement aisé, ses œuvres se vendant bien. Il lui arrive également de se servir de ses dons au casino quand les finances sont en baisses.
Particularité(s) : Ioanna est toujours habillée en noire, ce qui donne sans doute plus de poids à ses différents surnoms. Elle a aussi une cicatrice sur le ventre qu’elle ne sait pas véritablement expliquer, si ce n’est peut-être par la finalité sanglante du mythe de Cassandre.
Avatar : Alice Pagani (fan art)
Caractère :
▬ Sarcastique
▬ Cultivée
▬ Cynique
▬ Vulgaire
▬ Désinvolte
▬ Franche
▬ Débrouillarde
▬ Alcoolique
▬ Idéaliste
▬ Introvertie
▬ Déterminée
▬ Brutale
▬ Distante
▬ Sensible
▬ Indépendante
Mythe : Cassandre de la mythologie grecque.
Age : 28 ans
Nationalité : Grecque
Sexe & genre : Femme cis
Orientation : Bisexuelle et aromantique
Situation conjugale : Célibataire
Travail : Auteure de romans et de nouvelles.
Revenu : Relativement aisé, ses œuvres se vendant bien. Il lui arrive également de se servir de ses dons au casino quand les finances sont en baisses.
Particularité(s) : Ioanna est toujours habillée en noire, ce qui donne sans doute plus de poids à ses différents surnoms. Elle a aussi une cicatrice sur le ventre qu’elle ne sait pas véritablement expliquer, si ce n’est peut-être par la finalité sanglante du mythe de Cassandre.
Avatar : Alice Pagani (fan art)
Caractère :
▬ Sarcastique
▬ Cultivée
▬ Cynique
▬ Vulgaire
▬ Désinvolte
▬ Franche
▬ Débrouillarde
▬ Alcoolique
▬ Idéaliste
▬ Introvertie
▬ Déterminée
▬ Brutale
▬ Distante
▬ Sensible
▬ Indépendante
En Bref
▬ Connaissance des mythes : Ioanna a pleinement conscience de l’existence des mythes, et ça lui brise les ovaires qu’ils soient tous contraints de dissimuler leur existence au sein du monde humain. Elle croit la cohabitation possible, si bien qu’elle tente de révéler l’existence de ses pairs au sein de ses écris qu’elle présente comme des non-fictions, relevant d’un travail presque journalistique. Malheureusement, ils semblent tous trop stupides pour ouvrir les yeux. Personne n’y croit. Ses lecteurs non-mythes continuent de voir ses œuvres comme un sous-genre du fantastique, où la frontière entre le réel et l’imaginaire est de plus en plus floues. Et quant aux mythes, ils doivent bien se foutre de sa gueule. Alors son message ne se fait pas entendre, malgré la popularité de ses récits. Mais elle continue de la rêver, cette harmonie, cette cohabitation totale et consciente. Elle entrevoit les possibilités que tout cela pourrait offrir. Et elle continue de gratter le papier, quitte à ce qu’ils finissent tous par penser qu’elle est totalement tarée.
▬ Points importants de l’histoire/chronologie :
- Peu importe l’année, le jour ou encore l’heure de son émergence, Ioanna n’en a vraiment rien à foutre. Depuis l’antiquité grecque, les autres la prennent toujours pour une tarée. Une excentrique, une folâtre, une nana totalement cintrée. Et c’est son héritage à elle, le cadeau de Cassandre. Celle qui savait, prévoyant l’avenir, mais ne pouvait jamais convaincre.
- En discutant avec un vieux type à moitié aveugle, elle prend conscience de son histoire, de son origine et de sa nature. C’était un ancien un peu dingue, un aède désaxé désireux d’écrire une grande épopée. Un hymne "homérique", qu’il disait. La diffusion de son Illiade a rendu les divinations de Ioanna plus fortes, moins floues. Elle a alors tenté de les mettre au service de l’humanité, mais ils se sont tous majoritairement payé sa tronche. Comme pour le grand incendie de Rome. Alors, si c’est véritablement ce qu’ils veulent, qu’ils aillent tous en enfer.
- Les Hommes, ils se sont détournés des anciennes mythologies. Puis une forte pression religieuse s’est exercée sur les sociétés européennes. Ioanna, elle, est parvenu à éviter le bûcher. Par deux fois, ils se sont mis en tête de la faire cramer. Un peu comme l’autre idolâtre d’Orléans, ou Giordano Bruno. Alors elle a fini par suivre et par vivre avec une troupe de bohémiens, voyageant de pays en pays. La croyance, et la connaissance même du mythe de Cassandre diminuant, ses visions sont devenues moins précises. Mais elle parvenait davantage à convaincre ceux et celles qui lui rendaient visite. Alors elle gagnait un peu de frics en leur disant la bonne et la mauvaise aventure. Et surtout la mauvaise. C’est peut-être alors au cours de ces années d’errances que sa réputation de porte-malheur est née. Ionna, comme Cassandre avant elle, est maudite, voilà.
- Quand elle y repense, Ioanna comprends qu’elle a passé une bonne partie de son temps avec les marginaux et les anormaux. Sur les routes, avec des artistes, tous et toutes un peu atteins de la tête. Peut-être alors que sa place est avec eux, ou bien qu’ils sont les seuls pouvant l’accepter. Et qu’importe, puisqu’il n’y a pratiquement que ce type de personne là qu’elle trouve intéressant. Dans l’antiquité comme durant la renaissance. Et encore plus au cours du dix-neuvième siècle.
- En 1907, Ioanna entreprend un voyage jusqu’en Autriche, afin de rencontrer le directeur de l’Académie des Beaux-Arts de Vienne. Elle tente alors de le convaincre d’accepter la candidature d’un jeune peintre paresseux. Mais face à son refus, et alors qu’elle commence à lui hurler à la tronche qu’il ne doit pas laisser cet idiot de gamin devenir chancelier allemand, en 1933, il la rejette. Purement et violemment. Jusqu’à ce que les flics lui tombe dessus, à Ioanna. Et qu’elle découvre, pour la première fois, ce qu’est un hôpital psychiatrique. Pour la première fois depuis longtemps, elle voulait aider tout le monde. Mais elle s’est simplement souvenue de la raison pour laquelle elle ne voulait plus le faire.
- Deuxième moitié du vingtième siècle, Ioanna vit à Berlin, puis à Londres. Au cours des années soixante-dix, elle se rapproche des mouvances punk en Angleterre. Elle apprécie ce beau bordel qu’il sème, un peu partout. Et elle y participe. Jusqu’à une nouvelle arrestation, et un nouveau passage en psychiatrie. Comme si elle n’était pas faîte pour brûler sur la place publique, mais qu’elle était effectivement bonne pour pourrir dans une piaule aseptisée.
- Aujourd’hui, Ioanna vit à Paname. Et peut-être que le souvenir de ces vieilles écrivaines qu’elle a rencontré, et les fantômes de tous ces vieux poètes, ont finit par la rattraper, un peu. Elle écume les bars et tape sur une vieille machine à écrire, principalement. Mais c’est surtout Cassandre, qui continue de l’attraper par le col. Tout est toujours un peu pareil. Le changement, une chimère. Personne ne croit en ses visions, et ils pensent tous que ses récits sont des fictions. Soit. Rien ne peut l’empêcher de continuer à claquer cette satanée machine. Tant qu’il y a de l’alcool. Et parfois, elle se plaît à penser qu’elle seme quelques bombes, à retardements, derrière elle. Des bombes qui finiront bien par exploser. Un jour, peut-être. Et ils vivront véritablement ensemble, les mythes et les humains. Et elle pourra alors les aider. Comme elle aurait aimé pouvoir le faire depuis des millénaires.
▬ Pouvoirs/capacités spéciales : Ioanna a des facultés de préscience, lui permettant de voir ce qui adviendra dans un avenir plus ou moins proche. Au quotidien, elle sait alors que le lait va encore déborder de cette foutue casserole, que cette saloperie de téléphone va à nouveau sonner, et d’autres non-évènement du même genre, seulement séparés d’elle par quelques minutes. Elle sait que quelqu’un va toquer à sa porte, et qu’elle ne lui ouvrira pas. Simplement parce qu’elle n’a pas envie de le voir, ce voisin qui vient lui taxer un peu d’huile pour faire des crêpes. Et qu’elle préfère finir son whisky sans que personne ne l’emmerde. Evidemment, Ioanna peut prédire des évènements plus lointains, mais elle a besoin de solitude, et de concentration. Et c’est encore plus bon lorsqu’un disque d’electro tourne en boucle dans son appartement, et que des lumières criardes, quelques néons bleuâtres, recouvrent un peu de sa peau. Tout ce qu’elle aperçoit est alors plus net. La transe, plus douce, son cerveau se chargeant d’endorphine. Elle est, en quelque sorte, addicte à ses sensations là. Mais quand les visions sont violentes, elle revient à elle, en tremblant, le souffle court. Le cœur qui cogne et les entrailles tordues et serrées. Elle se tourne alors vers le tabac, pour apaiser tout ça. Mais le principal problème est encore et toujours le même. Plus l’évènement qu’elle entrevoit au travers des rivières de l’avenir est important, moins elle parvient à convaincre les autres de ce qu’il va advenir. Connerie de malédiction, qui l’amène à compter le nombre de défunts dont elle avait prédit la fin, tous les corps de ces couillons qui ont claqué de ne pas l’avoir écouté.
Mental et physique
C’était il y a un bail, mais elle se souvient. Du moment où l’vieux Homère a comparé Cassandre à une Aphrodite dorée. Et ce sans doute parce qu’il n’y voyait déjà plus rien. En s’regardant dans un miroir terne au-dessus d’un évier cradingue, Ioanna pense. Que si elle devait en être une, d’Aphrodite, alors elle serait moins rutilante que ça. Elle serait d’ébène, et de basalte. D’onyx et de jais et de suif, tout au plus. Elle chasse un peu ses cheveux charbon en arrière, et attrape les rebords de la porcelaine. Elle plonge, dans le magnétisme de ses pupilles, écarquillées par l’alcool. Une pensée pour Narcisse. Une pensée pour les fleurs, et pour toutes les étendues d’eau. Quelqu’un va d’ailleurs tirer la chasse d’eau, dans cinq secondes. Alors elle déserte les toilettes, elle déguerpit de là. Poussée par la non-envie d’être surprise en train de s’contempler, comme cet autre type stupide. Elle s’aime, de toute manière, bien moins qu’il peut s’aimer, et ce pour ne pas dire qu’elle n’a jamais été capable de s’aimer. Elle préfère encore ce comptoir qu’elle vient d’rejoindre à elle-même. Ainsi que ce mélange de vodka et de Ginger beer, qui tourne et tourne dans son verre. Si Cassandre, elle, était vouée à rester seule et à ne jamais s’marier, Ioanna, elle, sait qu’elle l’est tout aussi bien. Et tout cela semble lui convenir. Elle est n’a toujours été qu’en couple avec ça. L’ivresse et la solitude et elle-même. Alors elle lève son verre pour le vider d’un trait. Puis il claque, sur le bois, en retombant. Sa gestuelle est déjà incertaine, comme s’il y avait un flottement dans le moindre de ses mouvements, un peu d’air, une brise chaude. Quelque chose dans ce genre là. Ses cheveux retombent déjà un peu sur son visage.
Dans son dos, quelques mecs la regardent. Ils aiment, la manière dont son jean souligne la chute doucement sinueuse de ses hanches, et la virilité qu’il y a dans sa posture. Sa nuque, ses jambes et ses fesses. Les effluves de folie qui se diffusent de son attitude, cette sauvagerie et cette rugosité que tout son être dégage. Elle a du charme et du chien, qu’ils se disent. Et peut-être bien que ça les excite autant que ça leur flanque la frousse. Qu’importe, elle trempe à nouveau ses lèvres dans un autre verre, une envie de griller une cigarette lui grignotant les entrailles. Mais une nana apparaît à côté d’elle, celle qu’elle attendait depuis un peu plus d’une minute. Une anglaise un peu godiche, avec quelques tâches de rousseur sur les joues. Elle la déshabille un peu du regard, imaginant son corps contre le sien pendant qu’elle demande quelques pintes de cidres au barman. Leurs regards, ils ne se croisent même pas, comme prévu. Mais ce dont elle était sûre, c’est que si Cassandre s’est refusée à Appolon, Ioanna, elle, ne l’aurait certainement pas fait. Homme ou femme, ils auraient sans doute couché ensemble. Une fois, deux fois, trois fois. Tout juste le temps d’une nuit, jusqu’à ce qu’il ou elle en vienne à lui cracher dans la bouche. Et tout se serait terminé le lendemain, sans un mot de plus.
Elle titube jusqu’à la sortie de ce bar, comme au sein d’sa propre existence. Fouillant les poches de sa veste en cuir, en quête d’un paquet de cigarettes. Des mots et des phrases entières s’inscrivent dans un coin de son crâne. Enfermées par ses lèvres, qui ne bougent pas. Un briquet, une flamme. Le bout de sa clope devient une luciole dans la nuit, discrète dans la lumière des lampadaires. Certains diraient peut-être alors que, si Cassandre est celle qui fait le malheur des hommes, Ioanna est celle qui fabrique sa propre infortune. Comme si elle pouvait être le démiurge de sa propre malédiction. Mais peut-être que ces mêmes personnes se plantent et n’y connaissent rien. Elle relève la tête, la finesse de son nez vers le ciel, et ses paupières s’abattent sur ses yeux, une fraction de seconde. Cette godiche d’anglaise, elle va arriver dans une trentaine de seconde, pour lui demander un peu d’feu. Ioanna soupire. Il y a quelque chose qui s’estompe, quand plus rien ne semble être capable de surprendre. Et peut-être alors que Ioanna est, sans le savoir, perpétuellement en quête de sa Troie à elle. Une Troie peut-être conceptuelle, ou dématérialisée. Une ville en suspens dans l’atmosphère, un havre subsistant quelque part. Mais elle a déjà dévoré des kilomètres et des kilomètres, des centaines au cours de ces derniers millénaires. Alors, elle attend. Et quand la porte du bar s’ouvre, elle a déjà son briquet dans le creux d’sa main.
Dans son dos, quelques mecs la regardent. Ils aiment, la manière dont son jean souligne la chute doucement sinueuse de ses hanches, et la virilité qu’il y a dans sa posture. Sa nuque, ses jambes et ses fesses. Les effluves de folie qui se diffusent de son attitude, cette sauvagerie et cette rugosité que tout son être dégage. Elle a du charme et du chien, qu’ils se disent. Et peut-être bien que ça les excite autant que ça leur flanque la frousse. Qu’importe, elle trempe à nouveau ses lèvres dans un autre verre, une envie de griller une cigarette lui grignotant les entrailles. Mais une nana apparaît à côté d’elle, celle qu’elle attendait depuis un peu plus d’une minute. Une anglaise un peu godiche, avec quelques tâches de rousseur sur les joues. Elle la déshabille un peu du regard, imaginant son corps contre le sien pendant qu’elle demande quelques pintes de cidres au barman. Leurs regards, ils ne se croisent même pas, comme prévu. Mais ce dont elle était sûre, c’est que si Cassandre s’est refusée à Appolon, Ioanna, elle, ne l’aurait certainement pas fait. Homme ou femme, ils auraient sans doute couché ensemble. Une fois, deux fois, trois fois. Tout juste le temps d’une nuit, jusqu’à ce qu’il ou elle en vienne à lui cracher dans la bouche. Et tout se serait terminé le lendemain, sans un mot de plus.
Elle titube jusqu’à la sortie de ce bar, comme au sein d’sa propre existence. Fouillant les poches de sa veste en cuir, en quête d’un paquet de cigarettes. Des mots et des phrases entières s’inscrivent dans un coin de son crâne. Enfermées par ses lèvres, qui ne bougent pas. Un briquet, une flamme. Le bout de sa clope devient une luciole dans la nuit, discrète dans la lumière des lampadaires. Certains diraient peut-être alors que, si Cassandre est celle qui fait le malheur des hommes, Ioanna est celle qui fabrique sa propre infortune. Comme si elle pouvait être le démiurge de sa propre malédiction. Mais peut-être que ces mêmes personnes se plantent et n’y connaissent rien. Elle relève la tête, la finesse de son nez vers le ciel, et ses paupières s’abattent sur ses yeux, une fraction de seconde. Cette godiche d’anglaise, elle va arriver dans une trentaine de seconde, pour lui demander un peu d’feu. Ioanna soupire. Il y a quelque chose qui s’estompe, quand plus rien ne semble être capable de surprendre. Et peut-être alors que Ioanna est, sans le savoir, perpétuellement en quête de sa Troie à elle. Une Troie peut-être conceptuelle, ou dématérialisée. Une ville en suspens dans l’atmosphère, un havre subsistant quelque part. Mais elle a déjà dévoré des kilomètres et des kilomètres, des centaines au cours de ces derniers millénaires. Alors, elle attend. Et quand la porte du bar s’ouvre, elle a déjà son briquet dans le creux d’sa main.
informations en vrac
▬ Ioanna possède une petite collection de briquets à gaz dérobés au cours de différentes soirées, et certaines pièces datent des années soixante, soit le début de l’industrialisation de ce type de briquet.
▬ Elle feins de se foutre de tout, mais ce qui se passe autour d’elle l’affecte plus qu’elle ne voudra sans doute jamais l’admettre.
▬ Il est possible qu’elle ait inspiré quelques poèmes des "Fleurs du Mal", étant donné qu’elle a fumé pas mal de hash et bu quelques absinthes avec Baudelaire. Et sincèrement, c’était d’belles soirées.
▬ Laconique, Ioanna n’aime pas (n’aime plus ?) trop parler, et d’autant plus si c’est pour ne rien dire. Désormais, son langage premier, c’est peut-être bien l’écrit.
▬ Pour satisfaire son estomac, il n’y a encore rien d’mieux que le Tzatziki, le Pad Thai et le Yuzu. Mais pour satisfaire son foie, elle se tournera davantage vers le Kalimotxo, avant de s’achever à la vodka. Cependant, étant plus alcoolique qu’autre chose, elle se contentera de ce qu’il y a.
▬ La majorité d’ses visions étant sensiblement plutôt négatives, Ioanna prédit davantage les évènements funestes. Le malheur lui est plus clair que l’bonheur. Elle est alors souvent comparée à un corbeau, et à tout ce qui peut porter la poisse. Et d’ailleurs, on dit même parfois que c’est elle qui porte la poisse.
▬ Elle porte cette réputation, et s’en accoutume. Si bien qu’elle semble en avoir fait un déguisement, une bogue entourant, et protégeant, une sensibilité qu’elle peine à dévoiler.
▬ Brutale et vulgaire, et peut-être un poil expéditive par moment, un simple "va te faire foutre" lui permet souvent de flinguer une situation déplaisante. Et si ce n’est pas le cas, une bonne vieille gifle en travers de la gueule peut lui permettre d’arriver à ses fins.
▬ D’ailleurs, il lui arrive de se battre. Dans les bars, ou en soirée, souvent après quelques verres. Et bien qu’on n’puisse pas dire qu’elle aime ça, il semblerait que ça ne lui déplaise pas non plus.
▬ Si elle a découvert et appris à aimer bon nombre de courant et de style musicaux au fil des siècles, elle apprécie véritablement l’électro et la techno. Elle y trouve un genre musical résonnant profondément avec ce qu’elle est, à l’intérieur.
▬ Bien que ses romans soient perçu comme des fictions, elle applique une méthodologie presque journalistique pour leur écriture. Elle prend des photographies et des notes, enregistre discrètement quelques conversations, et observe tout autour d’elle, méticuleusement. Malheureusement, même si ces sources venaient à leaker, le grand public y verrait sans doute un travail de fabuliste, jouant à brouiller la frontière entre le réel et l’imaginaire, comme elle peut l’faire dans ses écrits à leurs yeux.
▬ D’ailleurs, son travail d’auteure l’a amené à donner quelques interviews pour la télévision et la radio. Cependant, ces échanges ont été pour le moins compliqué, notamment à cause de l’alcool. Sans compter que bon nombre de grossièreté ont dû être bipées ou coupées au montage.
▬ Son pseudonyme, Cassandra Haraway, est une composition à partir du nom de son mythe originel, et du nom de famille d’une professeure, philosophe et autrice féministe américaine. Ce pseudonyme se trouve être également l’identité de la narratrice de ses œuvres, principalement toutes écrite à la première personne selon une démarche autobiographique.
▬ Sans être minimaliste, Ioanna se contente de peu et se débrouille avec ce qu’elle a. Peut-être alors parce qu’elle a toujours plus ou moins vécu en ermite, en mouvement, en bohémienne. Un matelas à même le sol en guise de lit, quelques plantes et des bouteilles planquées quelque part, ça lui semble être déjà parfait.
▬ Ioanna se rend régulièrement à la bibliothèque, dans des musées et des galeries d’art. A des concerts, au cinéma, et dans les bars. En boîte de nuit, parfois à des raves party. Rarement dans des centres commerciaux, elle préfère les épiceries, et les friperies.
Tzatziki > Moussaka | Albert Camus > Jean-Paul Sartre | Lundi < Vendredi | Film > Série | To do list < Not to do | Passé < Futur | French Kiss < French Fries | Rêve > Réalité | Penser > Ressentir | Préparer < Improviser | Eté > Hiver | Sushi > Sandwich | Bière < Vin | Amour < Sexe | Douche < Bain | Soir > Matin
▬ Elle feins de se foutre de tout, mais ce qui se passe autour d’elle l’affecte plus qu’elle ne voudra sans doute jamais l’admettre.
▬ Il est possible qu’elle ait inspiré quelques poèmes des "Fleurs du Mal", étant donné qu’elle a fumé pas mal de hash et bu quelques absinthes avec Baudelaire. Et sincèrement, c’était d’belles soirées.
▬ Laconique, Ioanna n’aime pas (n’aime plus ?) trop parler, et d’autant plus si c’est pour ne rien dire. Désormais, son langage premier, c’est peut-être bien l’écrit.
▬ Pour satisfaire son estomac, il n’y a encore rien d’mieux que le Tzatziki, le Pad Thai et le Yuzu. Mais pour satisfaire son foie, elle se tournera davantage vers le Kalimotxo, avant de s’achever à la vodka. Cependant, étant plus alcoolique qu’autre chose, elle se contentera de ce qu’il y a.
▬ La majorité d’ses visions étant sensiblement plutôt négatives, Ioanna prédit davantage les évènements funestes. Le malheur lui est plus clair que l’bonheur. Elle est alors souvent comparée à un corbeau, et à tout ce qui peut porter la poisse. Et d’ailleurs, on dit même parfois que c’est elle qui porte la poisse.
▬ Elle porte cette réputation, et s’en accoutume. Si bien qu’elle semble en avoir fait un déguisement, une bogue entourant, et protégeant, une sensibilité qu’elle peine à dévoiler.
▬ Brutale et vulgaire, et peut-être un poil expéditive par moment, un simple "va te faire foutre" lui permet souvent de flinguer une situation déplaisante. Et si ce n’est pas le cas, une bonne vieille gifle en travers de la gueule peut lui permettre d’arriver à ses fins.
▬ D’ailleurs, il lui arrive de se battre. Dans les bars, ou en soirée, souvent après quelques verres. Et bien qu’on n’puisse pas dire qu’elle aime ça, il semblerait que ça ne lui déplaise pas non plus.
▬ Si elle a découvert et appris à aimer bon nombre de courant et de style musicaux au fil des siècles, elle apprécie véritablement l’électro et la techno. Elle y trouve un genre musical résonnant profondément avec ce qu’elle est, à l’intérieur.
▬ Bien que ses romans soient perçu comme des fictions, elle applique une méthodologie presque journalistique pour leur écriture. Elle prend des photographies et des notes, enregistre discrètement quelques conversations, et observe tout autour d’elle, méticuleusement. Malheureusement, même si ces sources venaient à leaker, le grand public y verrait sans doute un travail de fabuliste, jouant à brouiller la frontière entre le réel et l’imaginaire, comme elle peut l’faire dans ses écrits à leurs yeux.
▬ D’ailleurs, son travail d’auteure l’a amené à donner quelques interviews pour la télévision et la radio. Cependant, ces échanges ont été pour le moins compliqué, notamment à cause de l’alcool. Sans compter que bon nombre de grossièreté ont dû être bipées ou coupées au montage.
▬ Son pseudonyme, Cassandra Haraway, est une composition à partir du nom de son mythe originel, et du nom de famille d’une professeure, philosophe et autrice féministe américaine. Ce pseudonyme se trouve être également l’identité de la narratrice de ses œuvres, principalement toutes écrite à la première personne selon une démarche autobiographique.
▬ Sans être minimaliste, Ioanna se contente de peu et se débrouille avec ce qu’elle a. Peut-être alors parce qu’elle a toujours plus ou moins vécu en ermite, en mouvement, en bohémienne. Un matelas à même le sol en guise de lit, quelques plantes et des bouteilles planquées quelque part, ça lui semble être déjà parfait.
▬ Ioanna se rend régulièrement à la bibliothèque, dans des musées et des galeries d’art. A des concerts, au cinéma, et dans les bars. En boîte de nuit, parfois à des raves party. Rarement dans des centres commerciaux, elle préfère les épiceries, et les friperies.
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Histoire et vie présente
Ioanna, elle pourrait parler de sa routine matinale, comme tant d’autres demeurées peuvent le faire, mais elle n’en a vraiment rien à foutre. D’autant plus qu’elle a larguée l’aube depuis des décennies. C’est que les séances de méditation ne valent pas une tasse de café, et qu’elle a troqué les crèmes hydratantes contre des paquets de clopes. Elle aime, la fumée que ses lèvres sèment. La violence de ce soleil déjà à son zénith, s’écrasant sur le brun corbeau de ses cheveux. Et aussi que la rombière habitant en-dessous n’soit pas là, à flanquer des coups d’balais contre son putain de plafond. Les murs, ils tremblent légèrement, et les enceintes sont saturées. Les vivants se réveillent et les morts se relèvent. Et les cendres s’accumulant sur sa cigarette glissent et s’écrasent, un peu plus bas, sur l’asphalte. Ses bras, que l’hiver passé à rendu blanc, ils épousent le garde-fou de son balcon. Et à travers les arômes de tabac et de café, des effluves d’alcool s’échappe d’entre ses lèvres. Comme des vestiges de la veille. Alors elle réajuste les verres teintés sur le bout d’son nez, et s’essaye à remettre de l’ordre dans ses souvenirs, plus floues que quelques-unes de ses visions. Elle pourrait alors demander un peu d’aide aux différents tickets d’caisse, patientant dans les poches de sa veste. Un perfecto de cuir noir. Mais elle reste là, avec de la nicotine et ce café qui tiédit, contemplant les temples en ruine de sa mémoire, et ces quelques personnes en contrebas. Jusqu’à se dire que l’monde entier semble être, de toute manière, en gueule de bois permanente, chaque jour. Que c’est la société toute entière qui titube, et qu’elle, elle n’est peut-être qu’au diapason avec tout ça. Sans vraiment savoir si elle aime ça, ou si ça l’emmerde. Elle sait simplement qu’elle est revenue seule, hier soir. Sans personne dans son lit pour la faire chier ce matin, et que c’était tout aussi bien ainsi. Putain… Son visage s’effondre un peu sur ses avant-bras, sa bouche s’ouvrant en grand pour bailler. Comme un rugissement, silencieux, dispersé par la brise. Ses cheveux sauvages ballotant là-dedans. « Bordel, redresses-toi, Ioanna, qu’elle se dit à voix basse. Il est peut-être temps que tu émerges, et qu’tu surgisses de tout ça. Un peu comme un iceberg contre la coque d’un paquebot... » Alors elle avale le restant d’son café, et balance son mégot encore fumant dans la tasse. Elle n’a rien à faire aujourd’hui, comme tous les autres jours. Elle pourrait alors se faire un peu d’fric au casino. Faire une halte au bureau de tabac pour prendre quelques paquets de clopes. Ecrire quelques paragraphes, et vomir des lignes à envoyer à son éditrice. Dans tous les cas, elle sait qu’elle passera à nouveau pour une cinglée avant que ce satané soleil ne disparaisse dans l’horizon. Et que la vieille d’en-dessous, elle, doit être de retour du marché. Parce qu’elle va l’attraper, son balais, et frapper là-haut, contre son plafond, du peu de force qu’il lui reste. Un peu comme si elle bottait l’cul du ciel, ou du bon dieu. Dans une minute, et trente-six secondes. Sans doute pour profiter du calme, durant le peu de temps qu’il lui reste sur cette terre.
IRL
INRP
STATS
[Réservé] +2 <3
Et j'en profite pour vous saluer dignement !
Je vous ai laissé un petit mot sur la box en disant que vous êtes des tueurs.
Je pensais rester un peu plus longtemps dans l'ombre avant de débarquer parmi vous.
Mais j'ai craqué <3
De l'amour sur vous <3
Et j'en profite pour vous saluer dignement !
Je vous ai laissé un petit mot sur la box en disant que vous êtes des tueurs.
Je pensais rester un peu plus longtemps dans l'ombre avant de débarquer parmi vous.
Mais j'ai craqué <3
De l'amour sur vous <3
IRL
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STATS
Oooh Cassandre, qui peut-être verra-t-on sur Magica et Futura ?
J'aime beaucoup le fait qu'elle tente de révéler la vérité aux humains. J'ai hâte d'en savoir plus !
Bienvenue !!
J'aime beaucoup le fait qu'elle tente de révéler la vérité aux humains. J'ai hâte d'en savoir plus !
Bienvenue !!
IRL
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STATS
Merci beaucoup <3
Je compte bien essayer de jouer sur les trois univers, petit à petit.
Mais son prochain alter sera certainement sur Futura, j'ai quelques petites idées en tête !
Pour l'instant, je réfléchis encore un peu à l'histoire de Ioanna, j'espère vous faire signe rapidement <3
Je compte bien essayer de jouer sur les trois univers, petit à petit.
Mais son prochain alter sera certainement sur Futura, j'ai quelques petites idées en tête !
Pour l'instant, je réfléchis encore un peu à l'histoire de Ioanna, j'espère vous faire signe rapidement <3
IRL
INRP
STATS
Bonjour et bienvenue à Cassandre ! J'ai hâte de lire la totalité de ta (tes) fiche(s) eheh. Je viendrai peut-être te titiller un lien avec Ole pour Fabularis
Bon courage pour la suite
Bon courage pour la suite
IRL
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bienvenue !!!! je ne connaissais pas cassandre malgré mon amour pour la mythologie grecque??!? du coup j'ai rapidement lu le mythe et snif je trouve que ton personnage lui va trop bien !!! ça me tue que personne ne croit ses récits et c'est un joli clin d'oeil à sa source du coup
bon courage pour la rédaction de ta fiche !!!!
bon courage pour la rédaction de ta fiche !!!!
IRL
INRP
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Recoucou, ici Tyler.
Si jamais, ton vava semble être un fan art d'Alice Pagani <3
Si jamais, ton vava semble être un fan art d'Alice Pagani <3
IRL
INRP
STATS
Merci beaucoup à tous <3
Ole : Ce serait avec plaisir ! J'avoue même que Morphée est le premier mythe à m'être venu en tête en pensant à m'inscrire sur le forum :3
Meryl : La mythologie grecque, ça défonce tout <3 J'essaye de mettre un maximum de référence à Cassandre dans Ioanna, comme son aromantisme. Je me dis que, entre son histoire avec Apollon, la guerre de Troie suite à l'amourette Paris x Hélène, la tentative de viol dont elle a été victime, et son meurtre parce qu'Agamemnon s'est éprise d'elle... l'amour, ça doit pas être son dada x)
Tyler : J'avoue que tu me tires une belle épine du pied, merci beaucoup <3
By the way, l'histoire de Ioanna avance doucement, mais elle avance !
(Quelle idée de s'inscrire et d'entamer une fiche à cette période là de l'année en même temps?)
(J'ai vraiment vraiment craqué !)
Ole : Ce serait avec plaisir ! J'avoue même que Morphée est le premier mythe à m'être venu en tête en pensant à m'inscrire sur le forum :3
Meryl : La mythologie grecque, ça défonce tout <3 J'essaye de mettre un maximum de référence à Cassandre dans Ioanna, comme son aromantisme. Je me dis que, entre son histoire avec Apollon, la guerre de Troie suite à l'amourette Paris x Hélène, la tentative de viol dont elle a été victime, et son meurtre parce qu'Agamemnon s'est éprise d'elle... l'amour, ça doit pas être son dada x)
Tyler : J'avoue que tu me tires une belle épine du pied, merci beaucoup <3
By the way, l'histoire de Ioanna avance doucement, mais elle avance !
(Quelle idée de s'inscrire et d'entamer une fiche à cette période là de l'année en même temps?)
(J'ai vraiment vraiment craqué !)
IRL
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STATS
Pré-fiche validée
10/10 pour le poéme sur la girafe, rien que pour ça, je te valide /bam/
Non, c'est pas vrai car je suis une admin chiante et pointilleuse donc rien que parce que ta fiche est parfaite, je te valide !
Plus sérieusement, bienvenue sur le forum, j'attendais avec impatience que tu finisses ta pré-fiche pour venir y poster! J'aime beaucoup ton adaptation très "roman noir" de Cassandre et l'esthétique qui en ressort ! Le choix d'avatar est parfait aussi !
Va donc me continuer cela (à ton rythme, rien ne presse), O personne qui a craqué pour nos jolis yeux !
Non, c'est pas vrai car je suis une admin chiante et pointilleuse donc rien que parce que ta fiche est parfaite, je te valide !
Plus sérieusement, bienvenue sur le forum, j'attendais avec impatience que tu finisses ta pré-fiche pour venir y poster! J'aime beaucoup ton adaptation très "roman noir" de Cassandre et l'esthétique qui en ressort ! Le choix d'avatar est parfait aussi !
Va donc me continuer cela (à ton rythme, rien ne presse), O personne qui a craqué pour nos jolis yeux !
IRL
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*S'éclaircit la voix pour porter un toast*
Avant d'annoncer la fin de la rédaction de la fiche de Ioanna, je tiens à vous remercier de manière officielle pour votre accueil, et ce que ce soit sur le forum ou sur le Discord. Vous êtes des amours, mais puissance mille (environ) <3
J'ai d'ailleurs effectué une courte liste de comparaison pour illustrer cela :
- Vous êtes comme le pelage soyeux d'une marmotte fraîchement shampouinée.
(J'avais dis que c'était une courte liste /out)
Et donc, la fiche de Ioanna est terminée :D
Merci d'avance pour votre lecture, j'espère que ce personnage vous plaira <3
Avant d'annoncer la fin de la rédaction de la fiche de Ioanna, je tiens à vous remercier de manière officielle pour votre accueil, et ce que ce soit sur le forum ou sur le Discord. Vous êtes des amours, mais puissance mille (environ) <3
J'ai d'ailleurs effectué une courte liste de comparaison pour illustrer cela :
- Vous êtes comme le pelage soyeux d'une marmotte fraîchement shampouinée.
(J'avais dis que c'était une courte liste /out)
Et donc, la fiche de Ioanna est terminée :D
Merci d'avance pour votre lecture, j'espère que ce personnage vous plaira <3
IRL
INRP
STATS
Fiche validée
*Arrive sur son fière shetland blanc comme le prince charmant*
Tu le sais déjà car j'ai déjà officieusement validée ta fiche mais voila, c'est officiel !
Merci déjà pour la comparaison de la marmotte, elle roxe du poney, un peu comme ton style d'écriture d'ailleurs qui est vraiment très chouette et littéraire (je suis même un peu dans ma jalousie du coup je t'offre un jacuzzi pour que tu puisses t'y mettre.)
J'espère de tout coeur que Cassoulet arrivera à unir monde des mythes et monde des humains !
D'ici là, file rp !
(et maintenant, grâce à tout ça j'ai "petit poney" dans la tête.)
Bravo champion.ne, tu as passé la partie la plus difficile quand on commence avec un nouveau personnage !
Les informations concernant ton personnage rejoignent automatiquement les bottins.
Tu peux néanmoins nous décrire ton lieu d'habitation ou de travail ou nous proposer un prédefini/scénario [ICI] .
Si l'envie t'en vient, tu es libre également de créer ta fiche de liens et de rp [ICI]
Pour terminer, n'oublie pas de générer ta fiche de personnage sur ton profil et n'hésite pas à faire une demande de RP ou de liens spécifiques [ICI].
Bon jeu, bon flood et bienvenue à Espero !
Tu le sais déjà car j'ai déjà officieusement validée ta fiche mais voila, c'est officiel !
Merci déjà pour la comparaison de la marmotte, elle roxe du poney, un peu comme ton style d'écriture d'ailleurs qui est vraiment très chouette et littéraire (je suis même un peu dans ma jalousie du coup je t'offre un jacuzzi pour que tu puisses t'y mettre.)
J'espère de tout coeur que Cass
D'ici là, file rp !
(et maintenant, grâce à tout ça j'ai "petit poney" dans la tête.)
Et zééé parti !!!
Bravo champion.ne, tu as passé la partie la plus difficile quand on commence avec un nouveau personnage !
Les informations concernant ton personnage rejoignent automatiquement les bottins.
Tu peux néanmoins nous décrire ton lieu d'habitation ou de travail ou nous proposer un prédefini/scénario [ICI] .
Si l'envie t'en vient, tu es libre également de créer ta fiche de liens et de rp [ICI]
Pour terminer, n'oublie pas de générer ta fiche de personnage sur ton profil et n'hésite pas à faire une demande de RP ou de liens spécifiques [ICI].
Bon jeu, bon flood et bienvenue à Espero !
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